« Je crée pour raconter ma ville »

Partir du réel pour le réinventer, le réenchanter, le partager autrement. Partir de soi pour aller vers les autres et inversement. 

Dimanche 17 avril 17h
Salle Verdun L’Aigle
(dans le cadre d’Eagle Urban Week)

Depuis le mois de janvier, un groupe d’habitants de l’Aigle se réunit chaque mardi pour un atelier qui croise le théâtre, la danse et la vidéo. Nous nous sommes intéressés plus particulièrement au quartier de La Madeleine : sa vie, ses habitants, son histoire. Ainsi, grâce aux rencontres, aux échanges et aux questionnements, un spectacle pluridisciplinaire se construit. Venez le découvrir le 17 avril.

Un projet de la compagnie Passerelles-Théâtre avec Clotilde Labbé, metteur en scène, Véronique Pons, vidéaste et Sophie Distefano, chorégraphe

Le projet

Pour la 3ème année la compagnie développe ce projet. En 2014 et 2015 sur Argentan, en 2016 sur l’Aigle. Ce projet peut être réalisé dans d’autres villes souhaitant faire découvrir leur ville autrement.

NOTRE SPÉCIFICITÉ

Apprendre à faire un pas de côté

Habiter dans une ville, ce n’est pas qu’une histoire d’adresse postale ; c’est aussi et surtout se poser la question de ce qui rend ce lieu habitable à mes yeux. Ce que j’y fais. Ce que j’y construis. Les liens que je tisse, avec les gens, avec mon environnement. Ce dont j’ai besoin. Ce qui me manque. Ce que je désire.

« Je crée pour raconter ma ville » est un processus de création, sur une durée limitée, en prise directe avec les habitants qui vont ainsi questionner leur rapport à la ville.

Une invitation à voir les choses autrement, à réfléchir, à faire une pause, à prendre du recul.

CE QUI NOUS INTERESSE

Construire ensemble

Nous aimons surprendre les gens sur leur ville et la découvrir avec eux.

Nous pensons que la danse, le théâtre et la vidéo sont source de vitalité.

C’est la rencontre et l’émulation entre les gens qui nourrissent ce projet.

CE QUI NOUS MOTIVE

Réenchanter le quotidien

L’atelier propose aux habitants des pratiques artistiques pour exprimer leur rapport au monde ; ce qui est, pour nous, la vocation de la culture.

Travailler en interdisciplinarité c’est valoriser la richesse de modes d’expression différents et complémentaires ; c’est apprendre à dépasser, pour les habitants, leurs réticences à s’essayer à telle ou telle pratique ; c’est donner confiance et apporter de la joie.

Un petit coup de pouce ?